
Les revendications de la classe ouvrière ont été négligées durant la première année de l’Alliance du changement au pouvoir, selon Alain Kistnen.
Le négociateur syndical de la General Workers Federation rappelle que la classe ouvrière espérait l’introduction de la semaine des 40 heures, une promesse électorale phare de l’alliance du Changement qui tarde à être appliquée.
D’ajouter que certains syndicalistes, aujourd’hui devenus ministres, ont conscience de cette désillusion.
Alain Kistnen était l’un des invités de l’émission le dossier, hier, animée par Emmanuel Edoo.


