
Il y a quelques années, les producteurs locaux pouvaient planter environ 75 % de la demande d’oignons pour le marché local. Ce n’est plus le cas et la situation ne fait qu’empirer. Le coût est bien trop élevé pour les planteurs selon Krit Beeharry, membre de la plateforme Planteurs des Iles. Certaines variétés risquent de disparaître, comme l’oignon toupie.
Pour l’ail aussi, la production a drastiquement baissé.
Ecoutez l’intervention de Krit Beeharry, ci-dessous.