Les autorités ont bien l’intention d’améliorer le taux de fertilité à Maurice qui est en net déclin ces dernières années.
Cependant, faute d’un cadre légal, les cliniques de technologies reproductives, dont le Harley Street Fertility Centre, n’arrivent pas à obtenir l’autorisation pour la donation de sperme et d’ovules. Les discussions sont toutefois en cours avec les autorités à ce sujet. D’ailleurs, le ministre des Finances avait annoncé l’introduction prochaine d’un Assisted Reproductive Technology Act pour réglementer et superviser le domaine.
Domaine qui est complexe, voire même tabou, à Maurice.
Ecoutez l’intervention de Francesca Commarmond, directrice du centre, nous en parle davantage, ci-dessous.