Roshi Bhadain, l’un des leaders de Linion Reform, a révélé que l’une des mesures phares de son manifeste électoral est la dépénalisation contrôlée du cannabis.

Il affirme que cette démarche pourrait favoriser un meilleur encadrement des consommateurs et réduire la criminalité liée à la drogue. Néanmoins, cette annonce suscite des réactions diverses parmi les travailleurs sociaux.

Danny Philippe, travailleur social et chargé de prévention pour l’organisation DRIP (Développement, Rassemblement, Information et Prévention), accueille cette mesure de manière positive.

Kunal Naik, psychologue et addictologue, va dans le même sens. Il affirme qu’il milite depuis plusieurs années en faveur de la régulation du cannabis.

Josée Ah-Choon, directeur du Centre d’Accueil de Terre-Rouge, exprime un avis contraire : selon lui, les consommateurs de drogues dures ont tous commencé par le cannabis.

Les avis sur la dépénalisation du cannabis restent ainsi ouverts, bon nombre d’observateurs sont pour une table ronde après les élections générales.