Comme chaque année, les ONG tirent la sonnette d’alarme face à une recrudescence des cas de violences domestiques pendant les fêtes. Une réalité alarmante souvent liée à des tensions financières et à une consommation excessive d’alcool.
Pour Anushka Veerasawmy, militante engagée, il est urgent d’agir en profondeur pour changer les mentalités. Elle insiste sur l’importance d’éduquer les Mauriciens afin de normaliser le fait de signaler les actes de violence. Dénoncer ces abus ne devrait jamais être perçu comme un tabou, mais une nécessité selon elle.