Le leader du MMM et No 2 du gouvernement, Paul Bérenger, est catégorique. Il n’est pas question, dit-il, de précipiter la signature d’un accord sur l’archipel des Chagos avant la prise de pouvoir de Donald Trump le 20 janvier.
C’est avant tout une question de souveraineté et de dignité, dit Paul Bérenger qui accuse l’ancien premier ministre d’avoir vendu notre souveraineté pour un peu d’argent.
Il intervenait hier à la fête de fin d’année des Mauves au domaine Anna.