
L’accès massif au sommet du Morne n’aurait jamais dû être autorisé, selon Vijaya Teelock. L’historienne estime que les autorités devraient restreindre l’accès au sommet, ce qui permettrait de préserver ce patrimoine. Elle souligne qu’avec la technologie et les connaissances actuelles, les chercheurs auraient pu poursuivre leurs études sur le site.
Pour rappel, les grottes situées au sommet n’ont fait l’objet que d’une seule recherche archéologique d’envergure, en 2002-2003.