
Face à la surpopulation dans les prisons, qui ont atteint un taux d’occupation de 75 %, Me Roshan Rajroop, président de l’ONG Dis-Moi, estime qu’il est urgent de revoir certaines pratiques judiciaires.
Il explique que l’incarcération systématique des personnes pour consommation de drogues douces n’est plus adaptée à la réalité sociale et ne fait qu’alourdir inutilement la charge des prisons.
L’introduction des bracelets électroniques pourrait également être envisagée dans l’application des peines pour des délits mineurs.