
Le prix du carburant à l’international pourrait prendre l’ascenseur, et par ricochet, celui du fret. C’est la principale préoccupation actuelle, alors que des craintes persistent quant à une possible fermeture du détroit d’Ormuz par l’Iran en raison du conflit militaire avec Israël.
C’est ce que confirme Kevin Carpenen, président de l’Association des transitaires de Maurice. Il souligne toutefois qu’à ce stade, il n’y a pas eu d’annonce de la part des lignes maritimes, car depuis le conflit entre la Russie et l’Ukraine, elles transitent par l’Afrique du Sud.