Crise énergétique : acquisition de centrales électriques mobiles comme plan B

Un appel à propositions sera lancé prochainement à cet effet.

Le Central Electricity Board (CEB) envisage un plan B en cas d’abandon du projet de barge électrique de 100 mégawatts, en raison de certains obstacles et contraintes environnementales. Cela force le gouvernement à opter pour des centrales thermiques mobiles à échéance de six mois, face à une demande croissante d’énergie.

Le CEB opte pour un plan B, avec l’intégration de deux centrales thermiques mobiles, notamment à Fort George et à Saint-Louis. Ces deux centrales mobiles, d’une capacité totale de 60 mégawatts, serviront de renfort pour la prochaine saison estivale, avec des pics attendus autour de 600 mégawatts.

Un appel à propositions sera lancé prochainement à cet effet.

Cette option est privilégiée, car plusieurs accords internationaux sur les droits environnementaux, auxquels le pays est signataire – notamment ceux relatifs à la pollution – pourraient bloquer le projet de barge électrique de 100 MW.

Le Central Electricity Board ne veut pas mettre tous les œufs dans le même panier, car les autorités évoquent un possible déficit de 100 mégawatts sur le réseau du CEB, ainsi qu’une demande croissante de 87 mégawatts pour les zones industrielles, les nouveaux hôtels et centres commerciaux. D’où la nécessité d’avoir un plan B, voire un plan C, pouvant être mis en œuvre dans les six prochains mois.

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