
Deux femmes auraient été licenciées pour avoir porté le hijab. Afin d’éviter que ce type de situation ne se reproduise, le Conseil des ministres envisage de modifier la législation.
L’affaire concerne le cabinet d’avocats ENS Africa et a été référée à l’Employment Relations Tribunal, qui examinera la possibilité de réintégrer les deux employées et de prendre d’éventuelles sanctions contre l’employeur.
Selon le député de la majorité Eshan Juman, il est essentiel de traiter ce genre de cas avec sérieux. Il a été l’un des premiers à exprimer son indignation sur sa page Facebook en début de semaine.