
Le Chef commissaire Franceau Grandcourt se dit préoccupé par la dépendance persistante de l’île vis-à-vis de Maurice sur plusieurs volets, notamment politique et économique.
Selon lui, cette situation freine le développement et restreint l’autonomie de Rodrigues, qui devrait pouvoir prendre davantage de décisions adaptées à ses réalités locales.
Il appelle au dialogue afin de trouver un équilibre garantissant à la fois coopération et autonomie accrue pour l’île.
Franceau Grandcourt cite en exemple le refus, sous l’ancien gouvernement, d’autoriser des élus de l’Assemblée régionale à participer à une mission officielle aux Seychelles sans l’aval des autorités mauriciennes.