
Le climat au travail serait devenu invivable pour certains employés du SOS Village de Bambous. Le directeur est accusé d’avoir licencié injustement une employée et d’avoir harcelé d’autres, au point d’en pousser plusieurs à démissionner. Des employés dénoncent également du favoritisme et de l’ingérence dans leur travail. Martine, employée depuis 20 ans, affirme avoir été injustement licenciée.
Contacté, le Managing Director de SOS Village, Chetanand Bundhoo, dément toutes ces accusations. Il explique qu’une restructuration est en cours avec de nouveaux projets, mais assure qu’il n’a jamais été question de harcèlement ni de licenciement arbitraire. Au contraire, souligne-t-il, l’institution manque de personnel et peine à recruter.