
De nombreux Mauriciens se disent en désaccord avec les propositions sur la réforme électorale annoncées par le Premier ministre adjoint, Paul Bérenger.
La formule de “60 + 20”. 80 députés, c’est trop selon eux, surtout quand il faut baisser les dépenses publiques.
Si certains estiment qu’il faut conserver le système existant, d’autres soulignent que les réformes pourraient engendrer des frais additionnels.
Radio One est allée à la rencontre des Mauriciens dans les rues de la capitale.