
Le secteur sucrier mauricien s’est adapté, loin des années fastes des 500 000 à 700 000 tonnes produites autrefois. Le ministre de l’Agro-industrie, Arvin Boolell, reconnaît que les temps ont changé.
Intervenant lors de l’assemblée générale annuelle du Mauritius Sugar Syndicate, le ministre a souligné que l’avenir du sucre passe désormais par la valorisation des sucres spéciaux, une niche haut de gamme soutenue par un travail de branding efficace.
Le ministre a rappelé que les planteurs reçoivent désormais une aide de Rs 350 000 avant même la plantation, et Rs 35 000 par tonne livrée. Une avancée majeure, quand on compare aux Rs 8 700 par tonne versées en 2018.