
La colère monte à Agaléga. Sept mois après le passage du cyclone Chido, plusieurs familles vivent encore dans des maisons endommagées, sans qu’aucune réparation n’ait été entamée.
Certaines habitations accueillent aujourd’hui plusieurs couples et leurs enfants sous un même toit, faute d’alternative. Les sinistrés dénoncent l’inaction des autorités, malgré la visite de représentants du gouvernement sur l’île peu après la catastrophe.
Laval Soopramanien, président de l’association Les Amis d’Agaléga, souhaite obtenir des réponses. Une rencontre est prévue la semaine prochaine avec l’Outer Islands Development Council pour faire le point sur la situation.

















