
La discrimination ethnique est une réalité reconnue par des instances internationales à Maurice, notamment dans l’éducation et le recrutement, selon Bruneau Laurette. Pourtant, les gouvernements successifs n’ont jamais véritablement réglé le problème. Le fait de regrouper plusieurs communautés sous l’appellation « population générale » dans la Constitution n’a pas contribué à corriger les injustices héritées de l’esclavage, estime l’activiste.
Il demande au Premier ministre d’intervenir, dans une lettre envoyée à son bureau ce matin.
Une deuxième lettre a été adressée au ministre des Terres et du Logement, Shakeel Mohamed, pour étudier les cas de vols de terrains, notamment ceux concernant les descendants d’esclaves.