
Il ne faut pas commettre les mêmes erreurs en enfermant les droits constitutionnels de sorte à ce qu’ils n’évoluent pas avec le temp. C’est ce que soutient Me Parvez Dookhy, docteur en droit.
Selon cet avocat au barreau de Paris, la Constitution manque de flexibilité et d’adaptabilité. Elle est écrite d’une manière qui la rend statique, alors qu’elle devrait être une base vivante, capable de se redéfinir naturellement à travers les décisions judiciaires et les changements sociétaux.
S’il est en faveur de changements pour garantir plus de droits aux individus et à la nature qui nous entoure, il faudra le faire avec un regard vers le futur.