Le travail abattu pendant un an et demi par les universitaires sur l’introduction du Kreol Morisien à l’Assemblée nationale est désormais du domaine public, soutient Arnaud Carpooran, président de la Creole Speaking Union.
Il réagit à la réponse du premier ministre au parlement à une question de la députée Ariane Navarre Marie.
Le linguiste trouve que la pression est montée d’un cran sur les universitaires qui doivent soumettre une présentation complète sur l’utilisation de la langue Kreol Morisien au parlement.
Ecoutez l’intervention d’Arnaud Carpooran, ci-dessous.