L’organisation Youth for Human Rights Mauritius demande aux leaders politiques d’éviter toute forme de discrimination, de communautarisme, ou d’attaques directes visant la vie privée des individus et de leurs familles pendant la campagne électorale.
Manishwar Sharma Purmanund, coordinateur de l’organisation,rappelle que de telles pratiques pourraient entraîner des sanctions, et même la disqualification, selon l’article 34 de la Constitution, qui prévoit jusqu’à 12 mois d’emprisonnement. Une lettre dans ce sens a été envoyée à tous les leaders des partis politiques.
Ecoutez son intervention, ci-dessous: