
Face à la recrudescence des infractions liées à la drogue en 2024, avec une hausse de 4 % par rapport à l’année précédente, le débat sur la dépénalisation du cannabis s’intensifie. Le cannabis reste au cœur des préoccupations, représentant 40,9 % des délits recensés.
Pour Danny Philippe, travailleur social au sein de l’ONG DRIP, il est temps de revoir les politiques répressives. Militant de longue date pour une dépénalisation encadrée, il estime que la criminalisation du cannabis continue de briser inutilement la trajectoire de nombreux jeunes.