
Le mouvement Lalit parle de l’accord signé entre Maurice et le Royaume Uni comme d’une victoire en demi-teinte pour la communauté chagossienne.
Lindsey Collen, l’une des porte-parole de Lalit, affirme que l’accord contient des mots et des phrases qui limiteront Maurice dans l’exercice de sa souveraineté. Elle mentionne notamment une condition liée à une évaluation de sécurité pour la construction de bâtiments ou de maisons sur les ilots de l’archipel.
Une évaluation qui devra être faite par la Joint Commission. Lindsey Collen reste sceptique sur les conditions de cet accord.