
Linley Moothien, porte-parole de l’ONG 4 Tilapat, souligne que malgré la présence des caméras de surveillance aujourd’hui, certaines personnes ne craignent pas d’être reconnues.
Il y a une certaine impunité autour du tort occasionné aux animaux.
Selon lui, il s’agit très souvent de problèmes au sein du voisinage, qui conduisent à ce genre de situation.