Face à la hausse des cas de chikungunya, le système de contact tracing est mis à l’épreuve, particulièrement à l’aéroport. Malgré une vigilance accrue, certains touristes échappent au contrôle en fournissant des informations incorrectes sur leur adresse.

Cette situation complique considérablement le travail des équipes du ministère de la Santé, qui peinent à localiser les personnes potentiellement exposées au virus. Le manque de précision des adresses ralentit la mise en place des mesures de prévention et le suivi des chaînes de transmission, explique le Dr Fazil Khodaboccus.

Par ailleurs, certaines personnes sont asymptomatiques, souligne-t-il.