A trois semaines de l’Eid Ul Adha, les musulmans sont confrontés à une pénurie d’animaux pour le sacrifice.
Bœufs, cabris ou moutons, les éleveurs disent avoir tout vendu et les importateurs attendent toujours la fin de la quarantaine.
De quoi inquiéter des centaines de mauriciens pour qui, ce rite est obligatoire. Ils ont toutefois d’autres options.
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