À cinq semaines des élections générales prévues le 10 novembre, la classe syndicale mauricienne se mobilise avec vigueur, portant des revendications claires tout en mettant en garde les partis politiques contre toute tentative de remettre en question les acquis des travailleurs. Ils exercent une pression continue sur les partis pour qu’ils prennent en compte les préoccupations des travailleurs.
Ecoutez l’intervention de Reaz Chuttoo, de Haniff Peerun et d’Iqbal Amiran, ci-dessous.