L’accord sur les Chagos prévoit environ 10 milliards de roupies par an pour Maurice, soit 10 % des recettes de TVA, selon l’économiste Sanjay Matadeen. Un apport non négligeable pour les finances publiques, mais pas forcément déterminant à long terme. Pour l’économiste, c’est surtout à travers les projets d’infrastructures et de développement liés à l’accord que Maurice pourra en tirer un avantage durable. Il souligne l’importance d’une bonne gestion et d’une vision stratégique pour maximiser l’impact de ces aides sur la croissance, l’emploi et la modernisation du pays.
Si le pays pouvait avoir un montant équivalent à 5 ou 10 ans en avance, cela aurait plus d’impact selon lui