La position de l’alliance gouvernementale sur le décompte des bulletins le jour du scrutin attendue

Le Commissaire électoral bouclera sa série de consultations avec les partis politiques et les syndicalistes sur la question de Counting le jour du vote, cette semaine.

Le Commissaire électoral bouclera sa série de consultations avec les partis politiques et les syndicalistes sur la question de Counting le jour du vote, cette semaine.

Les consultations terminées, le Commissaire électoral enverra son rapport à l’Electoral Supervisory Commision qui fera ses recommandations à l’Assemblée nationale.

Il semblerait que l’introduction du décompte des bulletins ne sera pas pour les prochaines législatives.

Presque tous les partis politiques se disent en faveur de l’idée. Mais on se pose également des questions sur la logistique et la de main-d’œuvre nécessaires pour sa mise en pratique. Des inquiétudes persistent également sur la confidentialité du vote.

Certains partis politiques souhaitent que cette mesure soit appliquée pour les prochaines élections, tout en soulevant certains problèmes autour de la garantie de la confidentialité des votants, entre autres.  

Le principal obstacle pour le counting le jour du vote demeure la main-d’œuvre. Près de 12,000 fonctionnaires travaillent dans les centres de votes pour les élections.

Pour le dépouillement des bulletins de vote le jour du scrutin, la Commission électorale aura besoin de 20,000 fonctionnaires. Ajouté à cela, il y a aussi la disponibilité des ‘Returning Officers’ généralement des membres du judiciaire.

Il ne faut pas non plus oublier les problèmes qui pourraient survenir pendant l’exercice, comme ce fut le cas dans la circonscription no 10, en 2019. L’exercice de décompte avait pris fin aux petites heures du matin, le lendemain.

Plus d'Actualités

Autres Catégories