Réduire les heures de travail de 45 à 40 heures pour les services non essentiels est une mesure annoncée dans le discours-programme.
La classe syndicale et les entrepreneurs s’interrogent sur le paiement des heures de travail, la productivité des employés et, surtout, l’impact de cette décision sur le marché du travail.
Nos intervenants sont unanimes sur la nécessité d’organiser une table ronde pour discuter des amendements qui seront apportés aux lois du travail.