Les dirigeants de la troisième force manquent de crédibilité, ce qui a nui à leur capacité à convaincre l’électorat, d’après Suttyhudeo Tengur.
Il explique que la population doute de leurs compétences pour diriger le pays. Raison pour laquelle le choix s’est porté sur les partis traditionnels, perçus comme étant stables et aptes à mener le pays vers un meilleur avenir.