
L’affaire Junaid Haroon Fakim met en lumière un possible conflit d’intérêts au sein de la Financial Crimes Commission. À sa sortie du tribunal hier, son avocate, Urmila Boolell, a dénoncé la situation d’avocats employés par la FCC tout en exerçant parallèlement dans le privé.
Selon elle, cette double casquette crée un risque sérieux pour l’impartialité et pourrait compromettre l’équité des enquêtes et poursuites. Elle estime que le cas de son client, arrêté puis hospitalisé après un interrogatoire à la FCC, pourrait se reproduire tant que l’institution ne clarifie pas ses règles internes sur la pratique professionnelle de ses juristes.
 
								 
								 
															

