
Le Bail Amendment Act a été voté hier à l’Assemblée nationale, en l’absence de l’opposition, qui a refusé de prendre la parole en raison du temps imparti, qu’elle juge insuffisant.
Le Premier ministre, Navin Ramgoolam, a commenté ce projet de loi, expliquant qu’il était nécessaire d’identifier clairement les pouvoirs du Directeur des poursuites publiques et de la police dans le processus judiciaire de la liberté conditionnelle.
L’objectif est d’éliminer les conflits entre ces deux institutions, conflits qui ont coûté 14 millions de roupies à l’État sous l’ancien régime.