Kishore Taucoory, membre des célèbres Bhojpuri Boys, tire la sonnette d’alarme. Les demandes pour des performances en live lors des mariages chutent drastiquement.
En cause, selon lui : la montée en puissance des orchestres, des karaokés et surtout des DJs. Ces derniers diffusent ses morceaux sans qu’il ne reçoive la moindre compensation.
Une situation jugée injuste par ce musicien, qui estime que ce phénomène nuit gravement à son activité.
Interrogé à ce sujet, le DJ Roshan Boolkah, actif depuis 29 ans, avance que le véritable problème viendrait des DJs amateurs.
Ces prestataires ne paient ni les CD originaux, ni les droits à la MASA, ce qui pénalise non seulement les artistes, mais aussi les DJs professionnels.
Il appelle donc à une réglementation stricte de la profession.
