Donald Trump a confirmé son intention de rencontrer prochainement le Premier ministre britannique, Sir Keir Starmer, pour discuter des échanges commerciaux et de la diplomatie. Cette déclaration a été faite hier devant la presse, toujours à bord de l’avion Air Force One.
Le président américain fait également face à des pressions émanant de l’aile d’extrême droite de son parti, qui s’oppose à la validation de l’accord conclu entre Port-Louis et Londres concernant la rétrocession des Chagos.
Pour la première fois hier, le président des États-Unis a commenté le dossier des Chagos. Dans une brève déclaration, Donald Trump a indiqué que ce dossier n’était pas une priorité pour lui, ajoutant qu’il voulait être honnête à ce sujet.
Concernant les relations bilatérales avec le Royaume-Uni, le président américain a fait l’éloge du leadership du Premier ministre britannique, Keir Starmer. Il a également révélé avoir eu une conversation téléphonique de 45 minutes avec ce dernier la semaine dernière.
Par ailleurs, la pression s’intensifie sur l’administration Trump depuis quelques jours pour rendre caduc l’accord sur la rétrocession de la souveraineté des Chagos. L’aile représentant l’extrême droite du Parti républicain s’oppose fermement à cet accord, arguant que Maurice pourrait être influencée par l’Iran si le traité venait à être signé. De plus, le sénateur républicain John Kennedy a qualifié de grotesque la décision des Britanniques, affirmant que cet accord mettrait en danger la sécurité nationale des États-Unis.
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