Outre les irrégularités relevées dans l’affidavit de Vishal Shibchurn, le document, en lui-même, serait une arme politique.
Face à la presse hier, Maneesh Gobin a remis en question le timing de cet affidavit. Il souligne que Vishal Shibchurn avait déjà été interrogé deux ans auparavant et avait alors affirmé ne rien savoir sur la mort de Soopramanien Kistnen.
L’Attorney General souligne par ailleurs que l’avouée de aurait une couleur politique publique.
Ecoutez son intervention, ci-dessous.