
Une sensation de panique règne chez plusieurs propriétaires de chiens, selon des acteurs de terrain. Des cas d’abandon ont déjà été recensés, explique Rubina Jhugoo, activiste pour les droits des animaux.
Cette panique, selon elle, trouve son origine dans les frais et pénalités prévus en cas de non-respect de cette nouvelle loi. Même si elle accueille favorablement l’initiative, elle estime toutefois que certaines modalités devraient être revues afin d’éviter des dérives et de protéger au mieux les chiens concernés.
Arvin Boolell, ministre de l’Agro-Industrie, quant à lui, annonce la mise en place d’une caravane à partir de ce lundi, afin de faciliter l’enregistrement et le micropuçage des chiens. Il a par ailleurs tenté de calmer les esprits en affirmant qu’il n’y a pas lieu de paniquer.