
La réaction du front syndical ne s’est pas fait attendre après la réunion spéciale du Conseil des ministres. L’idée d’un ciblage pour le paiement de la pension universelle entre 60 et 65 ans est catégoriquement rejetée. Qu’il s’agisse du public ou du privé, les syndicalistes parlent d’une seule voix : pour eux, la pension à 60 ans est un droit social fondamental et non négociable.
Ils rejettent également la création de deux comités, l’un dirigé par le Premier ministre Navin Ramgoolam et l’autre par le ministre de la Sécurité sociale Ashok Subron, chargés de plancher sur la réforme.