
Six chauffeurs de la CNT, un de la compagnie UBS et un du secteur privé ont été verbalisés avant-hier pour émission excessive de fumée.
Mais selon le syndicat United Bus Industry Workers, ces sanctions sont injustes. Le syndicat estime que les conducteurs paient le prix de négligences mécaniques qui relèvent de la responsabilité des compagnies d’autobus.
Même si les amendes sont réglées par les employeurs, c’est le nom du chauffeur qui apparaît sur le procès-verbal – une situation préoccupante à l’approche de l’introduction du permis à points.