
Bien que jugée nécessaire par des économistes et actuaires, la réforme de la pension de vieillesse a surpris de nombreux Mauriciens. Selon l’observateur politique Bernard Saminaden, l’absence de véritable dialogue entre le gouvernement et les citoyens nuit à la confiance envers les décideurs et affaiblit l’équilibre politique. Il propose, entre autres, des mesures d’accompagnement, comme la révision du nombre d’heures de travail pour les salariés âgés de 60 à 65 ans.