La réalité est comme dépeinte dans les vidéos montrant des personnes dans un état second. Les vidéos ne cessent d’abreuver les réseaux sociaux et internet et l’impact est nocif pour les familles des toxicomanes.
C’est ce que pense Danny Philippe, responsable de la prévention de l’ONG DRIP.
Ceux vivant avec une dépendance sont considérés comme des victimes, prisonniers d’une substance qui altère leur jugement.